Résultats de recherche
216 résultats trouvés avec une recherche vide
- David Weytsman
Home / David Weytsman Parlementaire, Chef de groupe MR à la ville de Bruxelles 10 /10 Note Mauto Défense: Consulter ses mandats publics: Site Internet: Réseaux sociaux: Contenu en lien avec cette personnalité politique: Dossiers (responsable) Dossiers (soutien) Publications
- Thibaud Wyngaart
Home / Thibaud Wyngaart Premier échevin d'Uccle (Travaux publics, mobilité, stationnement, sport) Vice-président de Sib 2 /10 Note Mauto Défense: Consulter ses mandats publics: Site Internet: Réseaux sociaux: Contenu en lien avec cette personnalité politique: Dossiers (responsable) Dossiers (soutien) Publications
- Alcool
Alcool Home / Constat Solution Sur le même sujet: Dossiers Enquêtes Publications Pétitions Questions parlementaires
- Schaerbeek: Enquête publique sur le nouveau plan de stationnement
Home / Schaerbeek: Enquête publique sur le nouveau plan de stationnement Aidez-nous, vous-aussi Signez la pétition ! Pétition publiée le: jeudi 20 octobre 2022 Lettre-type d'opposition au plan V OUS POUVEZ COPIER-COLLER LE CONTENU CI-DESSOUS DANS UN EMAIL OU L’IMPRIMER AVANT DE L’ENVOYER AUX AUTORITES COMMUNALES. AJOUTEZ VOS EXPERIENCES, DEMANDES, PLAINTES PERSONNELLES AU BAS DU DOCUMENT DANS LA SECTION “H” (l'impact sur vos familles, votre vie sociale, votre commerce, votre asbl...), avec des exemples et des questions spécifiques (il est important de poser des questions concrètes afin qu'ils doivent légalement y répondre). AJOUTEZ EGALEMENT VOTRE NOM A LA FIN DU MESSAGE INTRODUCTIF . Au Collège des Bourgmestre et Echevins Concerne : Projet de plan d’action communal de stationnement – Opposition Madame la Bourgmestre ff, Mesdames et Messieurs les Echevin(e)s, Dans le cadre de l’enquête publique relative au projet de plan communal de stationnement (PACS) adopté par le Conseil communal ce 28 septembre 2022, j’ai l’honneur de vous communiquer les observations, objections et demandes suivantes. Ces remarques devraient être prises en compte au moment de l’évaluation de ce projet et de l’adoption du plan définitif. Leur non prise en compte doit être motivée. Afin que cette enquête publique se déroule en toute transparence, pourriez-vous m’envoyer un accusé de réception de ce courrier, indiquer dans votre rapport final le nombre de personnes qui y auront participé, rendre ce rapport public ainsi qu’annexer à ce dernier tous les avis qui vous seront parvenus ? Cordialement, Ajoutez votre nom A. Généralités : 1) Le Conseil communal est invité à adopter un « Plan d’Actions ». Ceci devrait correspondre à la mise en œuvre de modifications concrètes dans un délai imparti. Or nous sommes en présence d’expressions du genre « continuer d’étudier », « envisager », « accompagner parking brussel », « développer une stratégie », « quantifier…et planifier », « encourager ». Soit des déclarations d’intention sur lequel le citoyen n’a aucun intérêt direct à se prononcer vu qu’il ne se trouve pas confronté à un plan précis dont il peut mesurer l’impact sur son quotidien. A l’analyse, nous ne sommes pas en présence d'un plan au sens strict du mot. Par conséquent, l’enquête publique relative à ce projet de plan biaise le principe de la consultation citoyenne puisqu’une série de mesures concrètes pourraient être prises ultérieurement sans que le citoyen soit averti (sans modification du PACS et sans enquête publique relative à celle-ci). Le conseil communal demande en quelque sorte au citoyen de lui accorder un blanc-seing pour la suite des opérations. Donc, pour donner une vraie valeur démocratique à la consultation citoyenne, il est important de faire disparaître les actions proposées comportant ces termes ou de les regrouper dans une section séparée pour laquelle il sera précisé : - qu’aucune décision ne sera prise tant que ce nouveau PACS sera en vigueur ; - que toute décision relative à ces « études », « nouvelles stratégies », « projets », « options », « intentions » ne sera prise qu’une fois que cette décision aura été préalablement soumise à enquête publique dans le cadre d’une modification du PACS. Sont notamment concernées les actions 2.3, 2.4, 2.5, 3.2, 4.1, 6.1, 6.3, 6.5, 13.1, 15.5 de la synthèse des actions et des recommandations proposées. 2) En ce qui concerne les délais de réalisation, il y a lieu de bannir tout report à la « prochaine mandature ». Au nom de quel principe de droit public le présent collège aurait-il le droit d’engager la prochaine mandature ? Dès lors qu’il n’y a pas d’accord aujourd’hui sur une mesure concrète envisagée, il convient de la retirer des actions retenues, quitte à ce qu’à la « prochaine mandature », le PACS soit revu sur ce point et la modification soumise à enquête publique. La présente formulation préserve le programme de la majorité actuelle si elle devait être reconduite en autorisant la prise de mesures sans consultation, ce qui n’est pas dans l’esprit d’une réglementation qui impose la consultation publique. Ces manœuvres visant le moyen terme relèvent d’une tactique politique passablement cynique: la majorité soutient pleinement des mesures qui risquent d’être impopulaires. Elle les intègre dans un PACS pour le moment nébuleux et qui par conséquent ne peut faire l’objet de critiques précises dont il lui serait difficile de ne pas tenir compte, se préservant ainsi à deux ans de la prochaine échéance électorale. Le « Schaerbeek Info » daté de ce 10 octobre - mais distribué dans les jours qui ont suivi, soit APRES le début de l’enquête publique - confirme notre analyse de la situation. Le citoyen y est invité à s’exprimer sur des « actions présentées par le bureau d’études » (tarification plus dissuasive pour les cartes de dérogation, la sectorisation du territoire communal, un moratoire (quota) de cartes de riverain) mais qui ne donneront lieu « ni à décision ni à mise en œuvre durant cette mandature » . Ces actions présentées ne sont donc pas seulement des propositions émanant d’un bureau d’études mais bien des actions validées par le Collège des Bourgmestre et Echevins (éditeur responsable de la gazette communale), qui pourraient être mises en œuvre dans 2 ans (et plus que probablement si la majorité actuelle est reconduite). Ceci sans que le citoyen ait pu se prononcer sur les modalités concrètes d’application puisqu’elles sont à ce jour inconnues. Cette manière de présenter les mesures de façon vague et sans détails concrets est insidieuse. L’attention du citoyen n’est pas en éveil face à des mesures dont la mise en œuvre serait reportée alors que le pouvoir se réserve carte blanche. Je demande donc que les mesures 3.2 et 15.5 ainsi que les sections 4 et 5 de la synthèse des actions et recommandations proposées soient purement et simplement retirées. 3) Pourriez-vous me dire combien de sociétés ont répondu au marché public remporté par Stratec pour faire le diagnostic et quelles étaient les conditions tarifaires proposées par chacune d’entre elles ? B. Tarification (actions 1.1, 3.1 et 3.2 de la synthèse des actions et des recommandations proposées) 1) Il est question du tarif applicable dans plusieurs actions à mener (actions 1.1, 3.1 et 3.2). D’une manière générale, le projet se borne à indiquer que le tarif régional sera appliqué une fois qu’il sera entré en vigueur. 2) On peut s’interroger sur la compétence du Gouvernement régional à imposer des montants fixes de « redevances communales » en limitant l’autonomie des pouvoirs locaux en la matière. L’on peut aussi s’interroger sur la frilosité des élus communaux qui se réfèrent à un tarif inconnu, alors qu’on aurait pu s’attendre à ce qu’ils posent un regard critique sur ce qui va entraîner quasi automatiquement une sérieuse augmentation des tarifs dans une période de récession économique dont le Premier Ministre lui-même estime la durée à 5 ou 6 ans. Est-il normal que durant toute cette période, les services publics augmentent leurs ressources sur le dos des citoyens ? Poser la question c’est y répondre. 3) Par ailleurs, au contraire de l’impôt, la redevance doit correspondre au coût d’un service rendu. Deux réflexions s’imposent par rapport à cette réalité : a. Il semble tout d’abord impossible que ce coût ait évolué dans les mêmes proportions que ce que le Gouvernement bruxellois a fixé dans son projet d’arrêté ; d’où la remise en question de l’action 1.1 ; et b. Il est en outre donc totalement inacceptable qu’elle soit utilisée à des fins dissuasives (action 3.2). Il n’est enfin pas précisé quels seraient les niveaux de tarification qui seraient considérés comme dissuasifs, comme si les tarifs actuels et les tarifs nettement plus élevés évoqués par la Région ne l’étaient pas déjà. 4) Je demande donc aux autorités communales a. de faire preuve de responsabilité en refusant toute augmentation des tarifs et en amendant l’action 1.1. pour conserver uniquement le maintien des tarifs actuels b. le retrait pur et simple de l’action 3.2. de la synthèse des actions et des recommandations proposées et de son planning de décision fixé à « la prochaine mandature ». C. Stationnement : zones et horaires (actions 2.1 et 2.2 de la synthèse des actions et des recommandations proposées) 1) Le plan maintient le stationnement payant sur tout le territoire. Ce point est considéré comme acquis, ce qui est une fausse représentation de la réalité juridique. Le plan de 2016 prévoyait en effet une large partie du territoire (42%) en « zone bleue », qui permettait de se garer deux heures gratuitement. Ce même plan de 2016 soutenait qu’il fallait maintenir cette situation qui avait « montré son efficacité à Schaerbeek, tant au point de vue de son étendue horaire et géographique que de sa réglementation » et spécifiait qu’il n’était « donc pas prévu ici de modification globale du plan de stationnement réglementé ». 2) Bien que le PACS de 2016 soit contraignant, le Collège des bourgmestre et échevins a, par un règlement de 2019, remplacé arbitrairement ces zones bleues par des zones vertes, dans lesquelles le stationnement est payant dès après le premier quart d’heure. Cette décision, qui aurait dû être précédée par une modification du PACS de 2016 et une enquête publique, a été attaquée devant le Conseil d’Etat et, dans l’état actuel de la procédure, il est constaté que la décision de 2019 est illégale. Avec beaucoup de cynisme et sans que cela ne reflète une situation de droit, ce projet de nouveau plan fait donc l’impasse sur la question essentielle : le citoyen souhaite-t-il la transformation des « zones bleues » en « zones vertes » ? 3) A mon sens, aucun argument sérieux ne peut justifier la suppression des « zones bleues », si ce n’est la question de rentabilité financière pour la commune et pour l’Agence bruxelloise de stationnement qui n’aurait semble-t-il pas accepté d’intervenir à Schaerbeek si les zones bleues étaient maintenues. On est évidemment loin des objectifs naturels d’un plan de stationnement dans lequel seuls les intérêts des citoyens en matière de stationnement doivent être pris en compte. Or, par la suppression des zones bleues, notamment dans des quartiers résidentiels ne justifiant absolument pas une rotation rapide des véhicules ni ne présentant des taux de congestion inacceptables, c’est évidemment l’inverse qui s’est produit, notamment par un isolement des schaerbeekois par rapport à leur famille, leurs amis, des aidants ou des gens de métier qui hésitent à leur rendre visite, ou en tous cas à la prolonger en raison des tarifs exorbitants dont ils doivent s’acquitter. Ce grave inconvénient n’est en outre absolument pas compensé par une augmentation des possibilités de stationnement à certaines heures. 4) Le plan maintient également l’extension de la réglementation à 21h. Cela aggrave évidemment l’isolement dont question ci-dessus. 5) Par ailleurs, dans l’action 1.2 de la synthèse des actions et des recommandations proposées, il est question de mettre en œuvre un système permettant de bénéficier de deux heures gratuites en zone verte le samedi. Si c’est possible pour le samedi, on voit mal pourquoi ce ne pourrait être également d’application les autres jours de la semaine. Ce serait un moyen simple de revenir au système des zones bleues, sans les difficultés de contrôle. Ne pas accepter cette extension à l’ensemble de la semaine serait la preuve que l’objectif recherché par la commune est purement financier. En outre, le samedi étant un jour généralement chômé, il est propice aux réunions familiales et amicales. Le stationnement payant est évidemment un frein important à ces moments de bien-être. 6) Je demande donc a. le retour au statut de zones bleues pour l’ensemble des rues qui l’avaient avant l’adoption du règlement complémentaire de police illégal du 19 novembre 2019, et la modification conséquente de l’action 2.1. (dont la formulation est, sur base de l’avis du Premier Auditeur du Conseil d’Etat, obsolète car le terme « maintien » ne serait pas adéquat étant donné que le stationnement ne devrait pas être payant sur tout le territoire) b. la consultation des riverains pour tout changement de couleur ou de délimitation d’une zone c. la limitation du stationnement payant à 19h afin de pouvoir recevoir famille et amis en soirée sans les obliger à payer leur stationnement d. la mise en œuvre d’un système permettant de bénéficier de deux heures gratuites en zone verte pendant la semaine e. la gratuité du stationnement le samedi. D. Sectorisation (action 4.1 de la synthèse des actions et des recommandations proposées) 1) Comme dit plus haut, on peut raisonnablement craindre, sur base de la formulation actuelle du plan, que la division du territoire en « secteurs » sera une réalité à la prochaine mandature, toutes choses restant égales. Il s’agit en clair de limiter la validité des cartes de dérogation à chaque secteur. Aller dans un autre secteur obligera à alimenter des horodateurs même si on vient d’une zone verte vers une autre zone verte. 2) On ne peut que s’indigner de pareil projet qui aboutirait à créer sur le territoire communal des « ilôts » dont les limites vont marquer les limites de mobilité d’une bonne partie des citoyens. Cet « ilôtage » créera immanquablement un repli sur soi accompagné de jalousies et de frustrations. Aujourd’hui, alors même que selon les auteurs de l’étude, il n’y a pas assez de stationnement pour tout le monde, le citoyen peut compter sur une certaine forme de solidarité, voulue ou non. Je peux compter sur des places dans un quartier proche qui est moins encombré par exemple. Avec ce projet, ce sera terminé et l’on verra des citoyens schaerbeekois n’avoir que peu de difficultés pour stationner alors que les habitants des quartiers voisins vivront la galère alors que cela ne les dérangerait pas de stationner à quelques centaines de mètres de leur domicile…malheureusement dans un autre secteur. Le risque existe que cela valorise encore un peu plus le marché immobilier de certains quartiers au détriment d’autres. Il convient à cet égard de souligner que la commune de Schaerbeek n’a une superficie que de 8,14 km2, ce qui risque de ramener la superficie de ces « ilôts » à des « mouchoirs de poche ». 3) Une nouvelle fois, il est difficile d’apercevoir une motivation objective à cette sectorisation, si ce n’est le souci d’augmenter les ressources financières de la Commune et de l’Agence de stationnement. Cet objectif pèse bien peu face aux nuisances que cela va créer. Ainsi, des grands-parents schaerbeekois qui iraient chercher leurs petits enfants dans une école schaerbeekoise pour les ramener chez leurs parents schaerbeekois risquent bien de devoir stationner dans 3 secteurs différents avec les conséquences financières que cela entraînera. Les commerces schaerbeekois vont être encore plus désertés (sans ajouter les dégâts collatéraux de Good Move pour certains) au profit de commerces comparables sis dans les communes limitrophes qui n’ont pas supprimé les zones bleues ou à la frontière de la région bruxelloise. Il en va de même pour des centaines d’exemples comparables. 4) Il n’est enfin précisé aucune des modalités concrètes de l’application d’une telle mesure. La conserver dans la liste des actions reviendrait à vous donner carte blanche au niveau de sa mise en œuvre, ce que je refuse catégoriquement. 5) Je m’oppose donc à cette mesure et vous demande le retrait pur et simple de l’action 4.1. de la synthèse des actions et des recommandations proposées et de son planning de décision fixé à « la prochaine mandature ». E. Moratoire sur la délivrances des cartes de dérogation « riverains » (action 5.1 de la synthèse des actions et des recommandations proposées) 1) Partant du constat qu’il y aurait plus de cartes de dérogation « riverain » que de places de stationnement en voirie, la solution de facilité serait bien évidemment de limiter ces cartes de dérogation plutôt que de trouver des solutions structurelles. Dans la population schaerbeekoise, il y aura donc dès la prochaine mandature, toutes choses restant égales, des « chanceux » et des « malchanceux ». Et peut-être certains chanceux une année mais pas la suivante. Il s’agit d’ostracisme institutionnalisé. 2) Le constat de base reste quand même étonnant car s’il est vrai qu’il y a plus de cartes de dérogation que d’emplacements de stationnement, toutes ces places seraient occupées par des « riverains » et les horodateurs ne rapporteraient plus rien. Or il faut nécessairement prendre également en compte les places hors voirie ; dans tel cas, une instauration de quotas ne s’avère absolument pas nécessaire. D’autant plus qu’un des objectifs de la commune est d’augmenter significativement le nombre de places hors voirie. 3) Par ailleurs, ce projet de PACS ne spécifie aucune des modalités pratiques de la mise en place d’une telle mesure. Cette mise en place s’avèrerait particulièrement complexe si elle se veut raisonnable, logique, juste et égalitaire et pourrait laisser place à l’une ou l’autre fantaisie dont les autorités communales ont déjà prouvé qu’elles avaient le secret. Aller en votre sens reviendrait donc à acheter un chat dans un sac sans savoir à quoi je m’engage. 4) Je m’oppose donc à cette mesure et vous demande le retrait pur et simple du thème 5 de la synthèse des actions et des recommandations proposées et de son planning de décision fixé à « la prochaine mandature ». F. Stationnement vélos et motos (thèmes 6 et7 de la synthèse des actions et des recommandations proposées) 1) A de trop nombreuses reprises, la commune a placé des « arceaux » en voirie, supprimant ainsi plusieurs places de stationnement alors que le placement des arceaux était difficilement justifiable (à certains endroits, ils sont démultipliés dans des périmètres restreints, alors que les arceaux déjà installés à proximité ne sont pas utilisés). Il est sans doute difficile de s’opposer à une politique facilitant le parcage des vélos, mais il convient de veiller à ce que, dans la mesure du possible, cela n’impacte pas les places de stationnement des véhicules en voirie. Il en est d’autant plus ainsi que la problématique des « vélos cargos » va évidemment augmenter les besoins d’espace. 2) Il conviendra également que le gestionnaire de ces espaces (Commune ? Agence ?) veille à ce que l’on n’y retrouve pas des vélos manifestement abandonnés afin de conserver un rendement maximum des emplacements. 3) Il est évidemment impératif de trouver une solution efficace pour les trottinettes et autres vélos en libre-service qui trop souvent sont abandonnés la plupart du temps sur des trottoirs présentant d’incontestables obstacles dangereux, mais il n’est pas raisonnable d’envisager ces solutions systématiquement en voirie, au détriment des places de stationnement pour véhicules. 4) Je demande donc que toutes ces solutions de stationnement pour vélos, motos et trottinettes soient envisagées à des endroits où elles n’amputent pas le nombre de places de stationnement pour les véhicules (trottoirs larges, oreilles de trottoir, espaces avant les passages pour piétons où le stationnement des véhicules est interdit…). G. Suppression des places en voirie 1) Je termine par cette exigence qui me semble devenue absolue. Entre 2016 et 2021, 724 emplacement de stationnement en voirie ont été supprimés au profit d’aménagements divers dont la nécessité voire même l’utilité n’était pas établie. Ces chiffres ne prennent pas en compte les multiples suppressions intervenues en 2022. 2) Je demande qu’à l’avenir, toute place de stationnement supprimée en voirie le soit sur base d’un dossier de justification avec communication préalable aux riverains. 3) Je m’oppose à toute suppression d’emplacement qui ne serait pas ainsi justifiée et qui ne serait pas compensée par des places hors voirie, accessibles gratuitement aux riverains détenteurs d’une carte de dérogation riverain. Supprimer des places en voierie et les compenser par des places hors voierie payantes n’est en effet pas acceptable. H. Expériences personnelles AJOUTEZ ICI VOS EXPERIENCES, DEMANDES, PLAINTES PERSONNELLES (l'impact sur vos familles, votre vie sociale, votre commerce, votre asbl...), avec des exemples et des questions spécifiques (il est important de poser des questions concrètes afin qu'ils doivent légalement y répondre).
- Vraag bettrefende de fietstelpalen op belangrijke verkeersassen van het Brussels Hoofdstad.
Home / Question écrite Vraag bettrefende de fietstelpalen op belangrijke verkeersassen van het Brussels Hoofdstad. Posée à Par Posée le 9 janv. 2022 Question U spreekt over een sterke toename van het aantal fietsers in Brussel, en om dat te staven maakt u gebruik van uw telcamera's, die verspreid staan over verschillende wegen in de hoofdstad. 1. Hoe kunt u bevestigen dat elke getelde fiets niet reeds door een andere camera is geteld, waardoor dezelfde fietser meermaals wordt geregistreerd? 2. Kunt u ons het aantal fietsen geven dat is geteld op regenachtige dagen tegenover het aantal fietsen dat is geteld op droge dagen? 3. Kunt u ons zeggen of de verlichte telwerken die op bepaalde plaatsen zijn aangebracht (Blvd Général Jacques, bijvoorbeeld), door een onafhankelijke instantie worden gecontroleerd om de daar vermelde cijfers te valideren? Reçue le 13 mars 2022 Réponse De tellingen geven een duidelijk beeld van de evolutie van de frequentie waarmee een fietspad op een welbepaalde plek gebruikt wordt. Om de evolutie van het fietsverkeer te meten, wordt het aantal passages dan ook eerst punt per punt vergeleken. Vervolgens wordt een schatting gemaakt van het globale evolutiepercentage tussen twee periodes op basis van het aantal passages voor de posten die tijdens de twee periodes in werking waren. De evolutie van het fietsverkeer op alle telpunten is een goede indicator voor de evolutie van het aantal fietsers in het Gewest. Hoe meer tellers er zijn en hoe gelijkmatiger ze over het grondgebied zijn verspreid, hoe betrouwbaarder de indicator zal zijn. Als het te koud of te warm is om te fietsen, is het meestal te koud of te warm om naar buiten te gaan. Als de straten goed ontworpen zijn, ben je op de fiets niet meer overgeleverd aan de weersomstandigheden dan wanneer je te voet gaat. Nederland en Denemark kennen regelmatig koudere winters dan België, maar door een goed beheer van de omstandigheden, met inbegrip van bijvoorbeeld sneeuwruimen op de belangrijkste fietsroutes, kunnen de meeste mensen de fiets als vervoermiddel blijven gebruiken. Mensen blijven te voet gaan als het regent, koud of warm is - en ze blijven ook fietsen. Uit studies blijkt dat in steden met een goede fietsinfrastructuur de mensen ook bij slecht weer regelmatig blijven fietsen. Het gebruik van de fietspaden kan voor een deel van de fietsers dus samenhangen met de weersomstandigheden, maar het weer rechtvaardigt op geen enkele manier het niet voorzien in een veilige en aantrekkelijke omgeving voor fietsers. Aangezien de automatische telpunten niet zijn uitgerust met pluviometers en aangezien de frequentie van het gebruik van de fietspaden varieert naargelang het tijdstip van de dag en naargelang de seizoenen, wordt er geen verband gelegd tussen de neerslag en de tellingen. Gerichte tellingen en regelmatige controles maken het mogelijk de kwaliteit van de tellingen te controleren.
- Législation
Législation Home / Constat Solution Sur le même sujet: Dossiers Enquêtes Publications Pétitions Questions parlementaires
- Verkeersveiligheidsenquête
Home / Verkeersveiligheidsenquête Du samedi 24 juillet 2021 Au mercredi 15 septembre 2021 956 Participants Nous avons analysé les résultats de l'enquête initiée par le ministre Gilkinet. Ils ne sont absolument pas représentatifs de l'opinion des Belges, et comportent de grave incohérences. Cette enquête menée du 25 juillet au 15 septembre 2021 auprès des citoyens belges a pour objectifs d’examiner la perception qu’ils ont de la sécurité routière, des facteurs qui contribuent à la détériorer ou à l’améliorer, des causes des accidents de la route et des moyens d’y remédier. Elle est à mettre en perspective avec celle initiée par le Ministre Gilkinet , qui semble se focaliser plutôt sur un manque de responsabilisation des automobilistes... A vous de juger! Nous avons analysé les résultats de l'enquête initiée par le Ministre Gilkinet . Ils ne sont absolument pas représentatifs de l'opinion des Belges, et comportent de grave incohérences. Ils ne peuvent en aucun cas servir tels quels de base à la mise en œuvre de nouvelles mesures sensées améliorer la sécurité routière! Lire notre analyse complète: Critique de l'enquête du Ministre Gilkinet .pdf Télécharger PDF Lire le rapport complet de l'enquête de Mauto Défense: Enquête sécurité routière - Rapport complet .pdf Télécharger PDF Lire la synthèse du rapport de l'enquête de Mauto Défense: Enquête sécurité routière - Synthèse .pdf Télécharger PDF L'association française " 40 millions d'automobilistes " fait les mêmes constats que Mauto Défense! A lire ici
- Non à la fermeture totale du Bois de la Cambre!
Home / Non à la fermeture totale du Bois de la Cambre! Aidez-nous, vous-aussi Signez la pétition ! Pétition publiée le: vendredi 22 mai 2020 La Ville de Bruxelles a unilatéralement décidé de fermer entièrement à la circulation automobile le Bois de la Cambre dont elle est l'unique gestionnaire. Le Bois de la Cambre est un important axe de communication permettant aux habitants d'accéder rapidement aux points névralgiques de Bruxelles dont les problèmes chroniques de mobilité ne sont plus à démontrer. Depuis avril 2012, le Bois de la Cambre est fermé partiellement à la circulation automobile les week-ends et les jours fériés mais certaines artères restent toujours accessibles aux véhicules. Depuis ce 19 mars 2020, en raison des impératifs de distanciation sociale, la Ville de Bruxelles a complètement fermé le Bois de la Cambre au trafic pour donner de l’espace aux promeneurs et sportifs. Par décision unilatérale , les autorités de la Ville de Bruxelles ont prolongé l’application de cette mesure jusqu’à la fin du mois d’août. Uccle est la première commune impactée en termes de mobilité . Comme beaucoup de citoyens du sud de Bruxelles, les Ucclois utilisent quotidiennement le Bois de la Cambre. Fermer le Bois de la Cambre, au-delà des mesures de confinement, est un non-sens environnemental et économique. D’une part le report de trafic notamment sur la chaussée de Waterloo entraîne une pollution importante. D’autre part, l’accès aux commerces de la chaussée de Waterloo subit une forte tension depuis le début du déconfinement. Cette fermeture décourage de plus en plus de clients de venir faire leurs courses à Bruxelles. La fermeture du Bois de la Cambre ne peut se faire au détriment des riverains et des commerçants limitrophes de la chaussée de Waterloo ; cette chaussée sert littéralement de déversoir au trafic interne et au trafic des navetteurs venant de Rhode-Saint-Genèse ou de Waterloo. La fermeture du Bois entraîne également un important problème d’accès aux institutions hospitalières dans le sud de Bruxelles, tant pour les usagers que pour les services de secours. Le déconfinement a été entamé: la présence sur le lieu de travail a partiellement repris et il y a donc beaucoup moins de promeneurs en journée dans le Bois. Par ailleurs, la crise sanitaire invite à moins utiliser les transports en commun et davantage la voiture ou le vélo. Il n'y a plus aucune raison de laisser le Bois de la Cambre totalement fermé. Rappelons que le Bois de la Cambre, même ouvert aux voitures, reste accessible en permanence aux promeneurs. Ce n'est pas à Uccle de subir les conséquences de la fermeture de voiries par une autre commune. La crise sanitaire ne peut pas servir de prétexte à une stratégie politique qui mettrait encore plus en difficulté l’économie de notre Région, sa mobilité et son environnement. Comme l’a rappelé le bourgmestre d’Uccle : « S’il est important d'encourager celles et ceux qui peuvent utiliser le vélo, de nombreux citoyens ont besoin de leur voiture pour travailler. Fermer ce Bois en permanence serait une pure folie aussi bien en matière de mobilité qu’en matière économique ». C'est pourquoi afin de désengorger les rues avoisinantes, nous demandons que la Ville de Bruxelles : procède au plus vite à la réouverture - à tout le moins partielle - du Bois de la Cambre aux automobilistes ; applique au minimum la même réglementation aux jours de la semaine que celle qui existait précédemment pour les week-ends et les jours fériés. Diane Culer, chef de groupe MR au conseil communal d'Uccle Aurélie Czekalski, vice-présidente de MR d'Uccle
- Oldtimers (Plaques "O")
Oldtimers (Plaques "O") Home / La législation qui concerne les véhicules immatriculés en plaque « O » est de la responsabilité des régions, et dès lors très différente que l’on soit domicilié au Nord, au centre ou au Sud du pays. Constat La législation qui concerne les véhicules immatriculés en plaque « O » est de la responsabilité des régions, et dès lors très différente que l’on soit domicilié au Nord, au centre ou au Sud du pays. En Flandre , seuls les véhicules concernés de plus de 40 ans constituent une exception pour pénétrer dans les LEZ. MAIS les municipalités sont libres d’appliquer cette règle ou non ! A Anvers, par exemple les voitures de plus de 40 ans sont autorisées à circuler dans la LEZ, MAIS en payant une redevance ! Voilà une législation pour le moins nébuleuse… En région de Bruxelles-Capitale , les choses semblent plus claires : les voitures en plaques « O » de plus de 30 ans sont autorisées dans la LEZ, sans autre forme de contrainte. En dessous de 30 ans, c’est la réglementation de base qui s’applique (inscription via le site, 35€ de redevance, 8 fois par an maximum). En Wallonie les choses ne sont pas encore coulées sous forme de loi, mais on parle d’une exception complète pour les véhicules, anciens ou non, qui parcourent moins de 3.000km/an. Simple sur le papier, mais difficile à appliquer et surtout à contrôler (quid si l’on part à l’étranger avec le véhicule, par exemple…). Solution Il est impératif de simplifier ces mesures et de leur donner une vraie cohérence en unifiant les mesures dans les trois régions du pays. C’est évidemment à la BEHVA de proposer une harmonisation des mesures aux responsables politiques. Sur le même sujet: Dossiers Enquêtes Publications Pétitions Questions parlementaires
- Enquête Good Move 1 an après
Home / Enquête Good Move 1 an après Du jeudi 24 août 2023 Au samedi 30 septembre 2023 Participants Good Move 1 an après, qu'en pensez-vous? La plan Good Move un an après: qu'en pensez-vous? Good Move est le Plan régional de mobilité pour la Région de Bruxelles-Capitale (RBC). Il succède aux plans régionaux de mobilité Iris I (1998) et Iris II (2010). Il a été approuvé en 2020 par le Gouvernement bruxellois (sans passer par la case "Parlement"). Il définit les grandes orientations politiques dans le domaine de la mobilité. Ce plan a pour objectif d’améliorer le cadre de vie des Bruxellois, tout en accompagnant le développement démographique et économique de la Région de Bruxelles. Une seconde lecture permet de réaliser que son objectif est d'éliminer la voiture particulière individuelle de la zone urbaine. Il y a un an environ, la mise en application de ce plan a commencé dans certaines communes de la région. De manière partielle à Schaerbeek, Anderlecht, Ixelles ou Uccle, et de manière pratiquement complète dans le pentagone bruxellois. Les commentaires dithyranbiques sur les résultats obtenus, diffusés au travers des organes de communication de Bruxelles Mobilité ou par les majorités communales impliquées, ne nous semblent pas refléter de manière objective, le ressenti des acteurs de terrain. A cet égard, il suffit de prendre en compte les manifestations enregistrées à Anderlecht ou à Schaerbeeek, lors desquelles les citoyens ont exprimé leur désarroi et leur colère suite aux dispositifs divers mis en place (sens uniques, blocs de bétons, rétrecissements de voiries, suppression des emplacements de stationnement, etc...). L'ASBL Mauto Défense a dès lors tenu à mener sa propre enquête, pour réellement évaluer le ressenti de la population qui a subi, parfois avec une réelle violence, les changements imposés, et cela en dehors de toute influence extérieure. Donc clairement, en toute indépendance, comme à l'accoutumée ! Nous vous demandons de bien vouloir consacrer une dizaine de minutes pour répondre à ce questionnaire. Ce questionnaire est anonyme. Toutefois pour nous permettre de situer vos réponses dans la population nous vous demandons à la fin du questionnaire, quelques informations de type socio-démographiques vous concernant dont l'usage sera uniquement statistique. En vous remerciant d'avance.
- Ville 30 km/h
Ville 30 km/h Home / Constat Solution Sur le même sujet: Dossiers Enquêtes Publications Pétitions Questions parlementaires
- Enquête over de snelheidsbeperking tot 30 km/u in het Brussels Hoofdstedelijk Gewest
Home / Enquête over de snelheidsbeperking tot 30 km/u in het Brussels Hoofdstedelijk Gewest Du mardi 23 mars 2021 Au dimanche 16 mai 2021 17862 Participants Le 30km/h généralisé ne fait pas partie du plan « Good Move », au contraire de ce que l’on a essayé de faire croire aux Bruxellois ! Le 30km/h généralisé ne fait pas partie du plan « Good Move », au contraire de ce que l’on a essayé de faire croire aux Bruxellois ! Mais seulement quelques mesures de mise à 30km/h de certains quartiers, dans un rayon de 1 à 2,5 km autour de ceux-ci ! Pour rétablir la vérité en donnant la parole à tous les usagers, l’ASBL Mauto Défense a donc réalisé une enquête du 24/3/21 au 16/5/21 sur la mise en place du 30km/h généralisé en région bruxelloise. Elle a récolté 17.862 réponses aux questionnaires en français et en néerlandais, soit plus du double des 8.279 répondants citoyens à l’enquête publique qui aurait soi-disant donné sa légitimité au plan « Good Move » ! Lire le rapport complet de l'enquête de Mauto Défense: enquete_30kmh_rapport_complet .pdf Télécharger PDF Lire la synthèse du rapport de l'enquête de Mauto Défense: enquete_30kmh_synthese .pdf Télécharger PDF













